Tran Anh Hung

Tran Anh Hung

J’ai été touché dès son premier “Pierre de l’attente” découvert au festival brestois du film court au début des années 90, par un réalisateur franco-vietnamien très sensible, juste, dans la poésie de la lenteur, des légers changements de lumières, de couleurs, ces vibrations qui suspendent le temps.
Et des sujets souvent durs, sur notre société, le statut de la femme, ou l’arrivée des “boat-people”. Un peu de douceur avec cet extrait de réveil d’un frère et d’une soeur, sur la musique de Lou Reed:

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